Le plan stratégique d’équipement des Forces de défense et de sécurité (FDS), la réorganisation de l’armée et l’effort de paix du peuple burkinabè, sont les trois éléments qui participent à la lutte efficace contre le terrorisme au Burkina-Faso. Le troisième qui implique les deux autres, reste possible grâce aux multiples contributions financières des citoyens qui, en le faisant, affirment leur engagement aux côtés des forces combattantes qui se battent pour la libération du pays.
Ce soutien aux initiatives de la transition, conduite de mains de maitre par le président Ibrahim Traoré, est pour le peuple une manière d’être un Volontaire pour la défense de la Patrie (VDP). Pas un VDP engagé dans les opérations de reconquête du territoire, mais un VDP qui, contribue à une meilleure prise en charge des autres sur les fronts du combat.
Alors, selon les nouvelles du front, la puissance de feu des forces combattantes a encore eu raison des forces du mal. Dans la région des trois frontières et dans la boucle du Mouhoun, plusieurs terroristes ont péri dans les flammes des missiles largués par les vecteurs aériens. Le développement tant attendu de la guerre a démarré.
Plus de repères pour les forces du mal. Que ce soit sur les territoires burkinabè, malien ou nigérien, c’est la fin des criminels de la France. Soit, ils déposent les armes, soit ils vont périr. Les nouveaux équipements acquis par l’armée auront raison d’eux. Pour la mère Patrie, les forces engagées restent déterminées et le peuple burkinabè très engagé pour la contribution au Fonds de soutien patriotique.
Essé Folycoué
