Le séjour du président du Faso, le capitaine Ibrahim TRAORE à Ziniaré, dans la région du plateau-Central a été marqué, il faut le rappeler, par une rencontre d’échanges avec ses compatriotes de la localité. Les forces vives de la région issues de tous les secteurs, ont eu droit à une discussion franche avec le chef de l’Etat. Au menu de cette rencontre, les questions de la sécurité en lien avec la lutte contre le terrorisme et du développement dans la région en particulier et le pays en général.
Il faut dire que le capitaine Ibrahim TRAORE n’a pas perdu de vu les questions de l’heure liées notamment à la guerre communicationnelle marquée par la désinformation, les mensonges, les diffamations, œuvres sordides des médias propagandes et impérialistes. Le président a tenu à être franc avec ses compatriotes en leur disant la vérité sur ces médias qui ne cherchent que leurs intérêts et ceux de leurs maîtres impérialistes et néocolonialistes.
Le leader révolutionnaire, le patriote et digne fils du pays des hommes intègres a affirmé que son pays s’est désormais engagé dans une guerre d’indépendance. Il n’a surtout pas loupé dans son discours ces médias mercenaires et propagandes qui passent leur temps à dénigrer certains chefs d’Etats africains, les révolutionnaires évidemment, et à faire l’éloge d’autres, moyennant une récompense.
Il avait invité ses compatriotes à se départir de ces médias à la solde de l’impérialisme dont le but est de manipuler l’information, de diviser pour permettre à leurs maîtres de mieux régner en Afrique. Ces vérités ont bouleversé l’esprit des concernés à l’instar de Marwane Ben Yahmed, soi-disant rédacteur en chef du journal propagande, JeuneAfrique. « Qui se sent morveux se mouche » dit-on souvent.
Marwane Ben Yahmed s’est senti concerné par les propos du chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim TRAORE, et a voulu rétorquer en débitant des inepties afin de l’opposer à ses compatriotes. Mais c’est sans connaitre la détermination et le degré de considération ou de confiance des burkinabè envers leur leader patriote. Selon les analystes, il s’agit d’un journaliste mercenaire qui cherche à sauver l’image de son média désormais vomis par les africains.
Zenab Issa
