Pour la puissance coloniale française restée comme telle malgré l’abolition du colonialisme, être un soutien des pays de la Confédération de l’Alliance des Etats du Sahel (AES), c’est être de facto un ennemi de la France. A partir de cet instant, la personne devient une cible pour ses hommes de mains notamment la DGSE, qui vont multiplier toute sortes de stratégies pour attenter à sa vie ou le persécuter dans le but d’interrompre son élan de soutien.
C’est ce qui arrive d’après les opinions à l’activiste politique et digne fils du pays des hommes intègres, Ibrahima Maïga. Il fait constamment objet de tentative d’assassinat, de menaces et d’intimidations à travers les réseaux sociaux voir par des Médias français et même ceux de certains pays africains comme la Côte d’Ivoire. Des exilés burkinabè installés en Côte d’Ivoire et alliés des impérialistes français s’en prennent au burkinabè Ibrahima Maïga depuis plusieurs mois déjà.
Son dévouement et sa détermination aux côtés des autorités de son pays et de ceux des autres pays de l’AES ont fait de lui, une cible de plus pour ennemis de la paix et de la stabilité au Burkina Faso et de l’émancipation des africains en général. Ces derniers qui veulent à tout prix mettre fin à la nouvelle dynamique insufflée au Burkina Faso, au Mali et au Niger pour la souveraineté et l’indépendance réelle.
Il est temps selon des opinions, que les africains fassent preuve de compréhension et de prise de conscience sur les enjeux géopolitiques et s’unissent pour écarter les obstacles à leur développement et épanouissement. Quant au autorités ivoiriennes ils sont appelées à agir avec finesse pour préserver et renforcer les liens de voisinage, de fraternité et de solidarité avec notamment le Burkina Faso.
Adélaïde Batchou