Plusieurs sont ces projets de déstabilisation du pays des hommes intègres qui n’ont pas aboutis, depuis la formation du régime militaire de transition sous l’égide du capitaine Ibrahim TRAORE. Le tout récent projet des ennemis de la Nation devrait débuter en fin Mai dernier selon le président du Faso, le capitaine Ibrahim TRAORE.
Durant cette période, des plans d’attaques de points sensibles, des tentatives d’assassinant de masse visant des FDS et des agents de la veille citoyenne ont été déjoués. La complicité de certaines forces de défense et de sécurité avec les ennemis de la brousse (terroristes) a été découverte, ainsi qu’une tentative d’attaque du système informatique orchestrée par des services de renseignements occidentaux à partir des pays voisins découverte et contrecarrée.
Tout ceci aurait été possible grâce à l’efficacité et à la puissance du service de renseignements burkinabè, sans oublier le professionnalisme et l’engagement ferme des autorités militaires dans cette lutte. Les burkinabè sont particulièrement reconnaissant et salut la bravoure des unités de la police nationale, sous la guidance du commissaire divisionnaire de la police nationale, Mahamadou SANA.
La police a su jouer sa partition dans cette lutte, marquée en partie par la sécurisation des personnes, des biens et des institutions de la Nation. Il faut souligner aussi que le service de renseignements tout comme les unités combattantes aux fronts, a été monté en puissance par les autorités du pays, afin de mieux faire face à la crise sécuritaire et combattre efficacement les criminels de la brousse.
Aussi, grâce à la surveillance minutieuse et aux renseignements précis fournis sur les activités subversives des ennemis, leurs plans sont toujours voués à l’échec. Les complots pour déstabiliser le Burkina Faso se poursuivent à l’intérieur comme à l’extérieur du pays. Le président du Faso, le capitaine Ibrahim TRAORE met en garde ceux qui persistent dans ces manigances à l’intérieur du pays ainsi que ceux qui tirent les ficelles depuis l’extérieur.
Samba Barda