Les Autorités du Burkina Faso à leur tête le chef de l’Etat, le président Ibrahim TRAORE se montrent préoccupants en ce qui concernent l’emploi et l’autonomisation des jeunes burkinabè. Pour le capitaine Ibrahim TRAORE, les jeunes burkinabè sont la cible principale des groupes armés terroristes qui misent sur eux pour s’enraciner et s’étendre. Et plusieurs sont ces jeunes qui ont été trompés et entrainés dans cette vie de criminalité.
A l’heure où le Burkina Faso veut se débarrasser définitivement de ces criminels et aller vers un développement durable, il est impératif pour les autorités du pays, d’impliquer les jeunes. Comme on le dit souvent, les jeunes constituent un moteur de développement d’une Nation. Ces derniers ont donc un rôle primordial à jouer dans la libération et la reconstruction de la Nation.
A ce jour, plusieurs d’entre eux se sont fermement engagés comme FDS ou VDP, dans la lutte contre l’hydre terroriste et pour la restauration de la paix, de la sécurité et de la stabilité. Les projets et programmes de développement initiés par l’Etat, au-delà d’assurer un développement socioéconomique du pays, visent la création d’opportunités d’emplois pour les jeunes. Ce qui permet aux jeunes selon des opinions de s’affirmer et de mettre en valeur leur potentialité.
Que ce soit dans le secteur agropastoral, le commerce, l’artisanat ou encore dans le secteur de l’industrie, les autorités du pays comptent sur la participation active des jeunes burkinabè, une force endogène pour l’atteinte des objectifs cruciaux du pays et pour leur plein épanouissement. Ils sont notamment appelés à entreprendre dans ces divers secteurs, afin d’être plus utiles à la Nation que devenir un danger pour leur pays.
Nadine Djamou