Le Mali sous le Colonel Assimi Goïta mène une lutte historique pour la reconquête de sa souveraineté sur tous les plans. Alors, pour la bonne marche de la transition, plusieurs dispositions ont été prises par le gouvernement de la transition, à l’instar de la suspension des activités des partis politiques et des activités à caractère politique des associations.
C’est une décision salutaire que le gouvernement malien a pris au regard de la situation actuelle du pays. Etant en guerre, le Mali n’a besoin d’aucune activité des partis politiques, ni besoin des élections, comme le crient sur tous les toits les vendus et complices locaux de la communauté internationale.
« L’ONU se dit inquiète » de cette mesure. Pour d’autre, « c’est une atteinte aux libertés fondamentales » ou que sais-je encore. Que racontent-ils au juste ?
En Ukraine, Volodymyr Zelensky n’a-t-il pas pris certaines décisions notamment, ne pas organiser des élections parce que son pays est en guerre ? Et ça, personne n’a bronché, même pas cette communauté internationale. Et quand c’est un pays africain, particulièrement le Mali, membre de l’AES, non, il n’a pas le droit ; pourtant c’est un Etat souverain et maitre de son destin.
Les africains, plus précisément les maliens, cette poignée de politiques « ventrocrates » qui crient à tout vent et critiquent la moindre décision du président Goïta, doivent faire la part des choses et savoir ce qui est bon pour eux. Le pays est en guerre contre le terrorisme et le peuple malien est dépité de ces partis politiques et élections interminables qui, n’ont apporté que malheur et souffrances à cause des intérêts de quelques-uns.
La suspension des activités politiques jusqu’à nouvel ordre dans le pays est faite pour des raisons d’ordre public et préservation du climat de paix que les autorités s’évertuent à garantir. Le peuple malien doit se lever et faire bloc contre ces politiques véreux qui tentent de saboter la lutte héroïque du peuple.
Adjo Massan