La présidence tournante du cadre de concertation des centres d’études stratégiques de la Confédération AES est revenue au Burkina Faso, dans un contexte de défis sécuritaire, économique et politique. C’est le burkinabè, Barthélémy Simporé, un général de Brigade qui va assurer la présidence pour un An, en remplacement du malien, le Général de Brigade Satigui Sidibé.
Les capacités de l’homme à gérer toutes sortes de situations ont été relevées étant donné qu’il a déjà œuvrer aux côtés de son homologue malien. Désormais il est appelé à travailler pour relever les défis qui s’imposent à la Confédération AES en terme de sécurité et aussi de développement. La définition des stratégies devra tenir compte des aspirations des populations de cet espace commun.
Il ne faut pas perdre de vue le brillant expérience du Burkina Faso face au terrorisme et aux défis socioéconomique. Cette expérience devrait être mis à contribution pour booster les actions de la Confédération. Pour rappel, ce cadre de concertation des centres d’études stratégiques existe depuis 2020. Sa mission a été juste redynamisée et adaptée à la vision de l’Alliance et aux enjeux de l’heure.
C’est dans ce cadre qu’un mémorandum d’entente tripartite liant le Burkina Faso, le Mali et le Niger autour de la Confédération AES a été révisé et signé. Cette démarche vient renforcer encore l’existence et la construction d’une Confédération solide, pouvant mettre à la disposition des dirigeants des moyens nécessaires pour la consolidation des acquis et la conquête d’autres résultats plus satisfaisant au grand bonheur des populations.
Fabrice K.