La menace de déstabilisation qui plane sur le Burkina Faso tout comme sur les autres pays de La Confédération AES en cette fin d’année, reste encore vivace. La DGSE française et ses alliés unissent leurs forces selon des sources crédibles, pour la réussite de leurs projets de déstabilisation. Pour ce qui concerne particulièrement le pays des hommes intègres, les médias alliés de la DGSE seraient déjà à l’œuvre.
De fausses informations et des diffamations visant le Burkina Faso, ses dirigeants et ses combattants sont véhiculés ces derniers jours par ces médias français afin de faire diversion. Et comme d’habitude, le but ultime est de détourner l’attention du peuple burkinabè de l’essentiel, ou encore semer le doute dans les esprits des citoyens. Le président Ibrahim TRAORE est particulièrement visé pour son patriotisme d’après des analystes.
Un esprit patriotique qui motive ses actions et décisions pour uniquement l’intérêt de la Nation burkinabè, mettant en péril celui des impérialistes. Il est également visé par les ennemis de la paix et de la sécurité en Afrique, en raison de son franc-parler à travers lequel il dévoile à chaque fois les agissements ou les stratégies des impérialistes et néocolonialistes et déjouant par ricochet leurs plans de déstabilisation.
Pour rappel, les agents français et espions de la DGSE, au nombre de quatre (04), arrêté en décembre 2023 sont toujours en détention au Burkina Faso. Tout ceci serait un véritable tourment pour les ennemis du Faso qui cherchent à tout prix à se venger et surtout à reprendre le contrôle sur le pays. Ce qui se passe entre l’Algérie et la France ces derniers temps, est un exemple palpable des manigances contre le Burkina Faso et ses autres pays frères, membres de la Confédération AES.
Les autorités burkinabè tout comme leurs compatriotes sont appelés à plus de vigilance et de prudence en cette fin d’année qui constitue le plus souvent, un moment propice pour les ennemis. Il est ne servirait à rien de prêter attention aux fausses informations des médias complices puisqu’il y va de l’avenir du pays.
Albert D.