Burkina Faso/Déstabilisation : Les ennemis déterminés à détruire les acquis et à anéantir les efforts des burkinabè

A LA UNE OPINION POLITIQUE SOCIETE

Il faut noter que depuis l’arrivée au pouvoir du régime de transition dirigé par le capitaine Ibrahim TRAORE, une ère nouvelle a débuté au Burkina Faso, avec une nouvelle dynamique pour la liberté, la souveraineté et la prospérité du pays ainsi que l’épanouissement des citoyens.  A ce jour les résultats de la lutte sont énormes dans les domaines jugés prioritaires, notamment sur le plan de la sécurité où, la transition a concentré son énergie pour défendre le territoire national.

La récupération de 69% du territoire national en moins de deux (02) ans ; la réinstallation des centaines de milliers de personnes déplacées internes ; l’augmentation de la puissance de l’armée tant sur le plan logistique et matériels que la ressource humaine ; l’amélioration des conditions de vie des soldats et de leurs supplétifs, VDP ; des initiatives ambitieuses et prometteuses dans les secteurs économiques comme l’Agriculture, l’élevage, l’entrepreneuriat, l’industrialisation, sont des acquis de la transition que les ennemis veulent à tout prix jeter à l’eau.

Pour eux, que la vision soit bonne ou pas, le problème reste le capitaine Ibrahim TRAORE et son équipe qui ont osé briser le cercle des assoiffés de pouvoir, des dirigeants égoïstes, individualistes et cupides. Profitant autrefois du système impérialiste et de la crise sécuritaire, ces ennemis de la paix ne digèrent pas la nouvelle dynamique instaurée par le régime du capitaine Ibrahim TRAORE, dans le but de libérer le pays du joug terroriste et impérialiste, ainsi que les citoyens de la servitude et du poids du néocolonialisme.

Les plans de déstabilisation orchestrés ces derniers jours, à travers des attaques terroristes meurtrières, n’ont qu’un objectif, celui d’accentuer l’insécurité et de causer la chute du pouvoir qui depuis le début de son mandat, a démontré sa volonté déterminante de libérer le pays et d’offrir au peuple burkinabè un mieux-être.

Pour les ennemis et traitres, qui ne sont autres que des burkinabè fuyards, leurs complices à l’interne et les impérialistes, il faut nécessairement saboter les efforts de la transition afin de pouvoir prendre le dessus. Pour des analystes il s’agit de l’égoïsme et de la malhonnêteté. Ces personnes se soucient uniquement de leurs intérêts et n’accordent même pas de valeur à la vie de leurs compatriotes. A cet effet, ils devraient selon des analystes, être traités comme ils le méritent.

Souley S.

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