Burkina Faso : Avec le président Ibrahim TRAORE, la relance économique est une réalité (Un Citoyen)

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Nombreux sont ces burkinabè qui apprécient bien la gouvernance du président du Faso, le capitaine Ibrahim TRAORE et de ses collaborateurs. Quand il s’est agi de se prononcer sur la gestion du pouvoir par le MPSR 2, au micro de l’AIB, des citoyens n’ont pas hésité à énumérer des progrès enregistrés notamment dans le domaine de la sécuritaire et celui de l’économie. Pour ce qui concerne l’économie, le Burkina Faso serait sur la bonne voie.

Pour le pharmacien burkinabè, Dr. Adolphe Sermé cité par l’AIB, la relance économique au Faso est au rendez-vous, avec la naissance des industries dans divers secteurs et la révolution agricole. Parlant de l’agriculture, l’appui significatif de l’Etat aux acteurs agricoles avec des équipements et des intrants, est bien apprécié par des citoyens burkinabè. Ce qui n’était pas le cas auparavant, avec les régimes précédents qui s’étaient résolus à maintenir l’ancien système agricole.

Pour rappel, le président Ibrahim TRAORE et ses collaborateurs ont lancé des projets agricoles impliquant certaines cultures autrefois jugées inadaptées au sol burkinabè, comme le blé par exemple. En terme de relance économique, les autorités se sont engagées à dynamiser les secteurs économiques tels que l’agriculture, l’industrie, les mines et à promouvoir l’entrepreneuriat des burkinabè dans tous ces secteurs.

Plusieurs sont des projets qui sont en cours d’exécution dans ces différents secteurs afin de booster l’économie du pays et assurer un développement harmonieux et durable. Aujourd’hui, la diaspora burkinabè, les hommes d’affaires burkinabè et étrangers sont invités à investir au Faso, notamment dans le domaine d’industrie, au vue des matières premières disponibles au Burkina Faso.

Ceci permettra non seulement de pouvoir assurer la transformer localement ces produits du pays, mais aussi de faire du Faso un pays industrialisé, un aspect essentiel dans le développement socioéconomique de chaque Nation. Les autorités burkinabè restent donc déterminées à poursuivre les réformes et à prendre des initiatives nécessaires visant à favoriser la croissance de l’économie nationale au bénéfice des générations présentes et futures.

Robert Tchim

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