Human Rights Watch (HRW), l’Organisation internationale dite de défense des droits humains serait-elle en connivence avec des criminels de la brousse et leurs autres complices qui ont commandité l’attaque du 24 Août dernier à Barsalgho ? Une question qui taraude les esprits suite à la publication ce mardi 29 Octobre, de son rapport en lien avec cette attaque qui a tué civils et militaires.
Des propos dans ce rapport trahiraient le lien étroit qui existerait entre cette organisation considérée comme instrument des impérialistes, et les criminels qui endeuillent les familles au Burkina Faso. HRW a relayé dans son rapport truffé de mensonges et d’inventions, un message du groupe de soutien à l’Islam et aux Musulmans (JNIM), jugé par RFI comme une réponse de ce groupe à une question de l’ONG HRW.
Il s’agit précisément de ce message des terroristes qui dit, « Barsalogho est comme une grande caserne militaire, et ses habitants sont tous des combattants ». Une réponse qui justifierait selon ces complices des terroristes, l’attaque contre la population civile de Barsalgho. Le quotidien « Libération » quant à lui, a affirmé dans son article en lien avec ce rapport que, « Les jihadistes justifient le massacre des civils en les taxant de complicité avec l’armée ».
En réalité, des terroristes sont cités dans ce rapport comme sources. Ce qui témoignent une fois de plus selon les opinions, des liens qui existent entre les terroristes, les Médias français et ces organisations internationales à la solde des puissances impérialistes et néocolonialistes. Il est clair d’après ces dernières, que cette ONG met les bouchées doubles, pour l’atteinte des objectifs, ceux consistant à interrompre l’élan de lutte et à déstabiliser le pays.
La vigilance, la prudence et l’esprit de discernement s’imposent au peuple conscient et éveillé du Burkina Faso. Ceci permettra de ne plus commettre les erreurs du passé qui ont couté très chers à la Nation burkinabè après l’assassinat des leaders révolutionnaires par les mêmes impérialistes et leurs complices.
Emmanuela B.