Au Burkina Faso, à l’occasion de la remémoration du triste évènement du 15 Octobre 1987, marqué par l’assassinat du président Thomas Isidore Noël Sankara, le président Ibrahim TRAORE a rendu hommage à l’homme qu’il a qualifié de visionnaire. Pour lui, celui qui est considéré comme le père de la révolution burkinabè du 04 Août 1983 continue de marquer l’histoire du pays des hommes intègres.
« (…) je rends un vibrant hommage à ce grand visionnaire qui a marqué, et continue de marquer de façon indélébile, l’histoire de notre Nation par son intégrité, son patriotisme et son engagement indéfectible pour un Burkina Faso digne, libre et souverain » ; a-t-il déclaré dans un message rendu public ce mardi 15 Octobre, sur son compte X et sur les pages réseaux sociaux officiels de la présidence du Faso.
D’après les propos du président Ibrahim TRAORE, l’engagement de ce leader révolutionnaire burkinabè reste un chemin à suivre pour l’atteinte des objectifs que les autorités actuelles se sont fixées. « Son combat et sa vision demeurent un repère qui oriente notre action et nourrit notre engagement et notre détermination pour la reconquête du territoire national et la construction d’un nouveau Burkina de paix, de sécurité, de prospérité et de progrès pour l’ensemble des Burkinabè. » a-t-il poursuivi dans son message.
Pour rappel, le 02 Octobre à l’occasion du lancement de l’acte 2 des journées nationales d’engagement patriotique et de participation citoyenne, marquant également la date anniversaire du Discours d’Orientation Politique de Thomas Sankara, le chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim TRAORE avait réitéré son engagement à lutter contre le terrorisme, invitant ses compatriotes à avoir toujours l’esprit de patriotisme, de dignité et d’engagement pour construire une Nation forte et souveraine.
C’est dire que le président du Faso, le capitaine Ibrahim TRAORE invite le peuple burkinabè à s’inspirer du charisme du père de la révolution burkinabè, comme il le fait, afin d’avancer dans sa marche vers la liberté, l’émergence et l’indépendance réelle.
Oumou Konate
