Affaire de massacre des peuls à Solenzo : Une réalité ou un vœu des ennemis de la Nation ?

A LA UNE OPINION SOCIETE

Des Médias alliés des impérialistes et néocolonialistes, des ONG instrumentalisées et leurs complices valets locaux se prennent pour ceux qui aiment et défendent les intérêts des communautés peules au Burkina Faso, plus que les concernés eux-mêmes. Au point d’inventer des atrocités sur ces communautés qu’elles-mêmes ne reconnaissent pas. Des témoignes sur cette affaire en disent long sur l’intention réelle de ces médias et de leurs complices.

Pendant que ces ennemis de la paix au Burkina Faso et dans le Sahel crient à qui veut entendre, que les forces combattantes (VDP et FDS) sont devenues du jour au lendemain des monstres assoiffés du sang des peuls, les soi-disant victimes n’en savent rien. Au micro de l’AIB, des peuls vivant paisiblement et en harmonie avec d’autres communautés à Solenzo, démentent ces allégations mensongères qui ne profitent qu’aux auteurs.

Les peuls interrogés, citoyens du Burkina Faso se questionnent sur les motifs de ces fausses informations. En effet, ces ennemis de la paix et alliés des terroristes sont connus pour leurs stratégies annonciatrices ou provocatrices. Il se peut donc selon des opinions, que ces médias impérialistes appuyés par l’ONG Human Rights Watch (HRW) travaillent en amont pour faciliter l’intervention des exécuteurs de plan contre les peuls, afin de les imputer ensuite aux forces combattantes.

Ou encore c’est une manière de faire exécuter leur vœu en opposant les peuls aux VDP et FDS pour créer un chaos total au pays des hommes intègres. Fort heureusement les combattants ainsi que les populations ne cèdent pas à ces tentatives de manipulations, de division et restent serins chacun dans sa mission. Il importe tout de même d’œuvrer pour garder ce climat de cohésion social et de vivre ensemble.

La libération et la survie du pays en dépendent et les ennemis cherchent par tout moyen à renverser la tendance. La vigilance, la résilience et la détermination s’imposent donc à tout burkinabè épris de paix, de stabilité et du développement du pays.

Moussa O.

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