Le dossier qui intrigue plus d’un, en particulier le peuple de l’AES ces derniers jours, reste celui du mandat d’arrêt international émis par la Cour Pénale Internationale (CPI) contre le chef terroriste Iyad Ag Ghaly au Mali. Un ami des impérialistes recherché par la CPI pour crime contre l’humanité et crimes de guerre commis au Nord du Mali entre 2012 et 2013.
Non seulement le sujet suscite des interrogations au sein de l’opinion internationale et régionale quant au moment choisi pour rendre public cet arrêt demandé depuis 2017 et aux arrières pensées de cette Cour taxée d’instrument des impérialistes, mais sa publication semble susciter aussi des conflits entre les complices eux-mêmes.
Des apatrides se sont indignés du fait que leur Médias complice de longue date, RFI, en relayant la décision de la CPI, s’est servie d’une image illustrative du concerné où apparait aussi l’apatride burkinabè Djibli Bassolé. Pour eux, leur compagnon de route pour la destruction du Burkina Faso, met en danger l’un de leur camarade de lutte diabolique qu’est Djibril Bassolé.
Sur le coup de colère, ces derniers avouent publiquement que le Média français RFI, comme tous les autres médias impérialistes, qui ont parlé ces derniers temps du Burkina Faso, n’ont fait que de la propagande contre le pays des hommes intègres et son président, le capitaine Ibrahim TRAORE.
Des analystes pensent même que RFI a voulu régler son compte avec Djibril Bassolé qui a échoué à sa dernière mission qui était de semer le chaos au Faso à travers une attaque terroriste d’envergure. Plus précisément, l’attaque de Mansila qui a été vaillamment et brillamment repoussée par les braves combattants. Cependant selon d’autres analystes, il est important de garder à l’esprit que la CPI est en mission dans cette nouvelle affaire.
Une mission qui vise d’autres personnes que le touareg terroriste et soi-disant recherché. La CPI chercherait un moyen pour atteindre les dirigeants des pays de l’AES (Burkina Faso, Mali et Niger). Il faut noter que le capitaine Ibrahim TRAORE est déjà dans le viseur de cette cour depuis quelques mois déjà, avec des dossiers mensongers. D’où la nécessité pour le Faso de sortir de cette cour.
Salim Bouka