Sous le leadership du président Ibrahim Traoré, le Burkina Faso s’est résolument engagé dans une dynamique de refondation nationale avec pour soubassements, souveraineté, offensive agricole, industrialisation, renaissance culturelle et réformes audacieuses. En seulement deux années de gouvernance, le pays a pris un tournant décisif.
Fidèle élève de Thomas Sankara, le Capitaine Ibrahim Traoré a fait de la reconquête territoriale, l’indépendance économique, la sécurité alimentaire et le rayonnement culturel des priorités nationales. Grâce à une réorganisation de l’armée et à la posture offensive désormais adoptée par les forces combattantes, l’Etat burkinabè contrôle aujourd’hui la quasi-totalité de son territoire.
Sa vision panafricaine héritée de Sankara, ainsi que son sens élevé du patriotisme et sa volonté d’affranchir le pays du joug de l’impérialisme, l’ont amené à rompre tout accord colonial avec la France, qui maintenait toujours le Faso sous la domination étrangère.
Sous le Capitaine Ibrahim Traoré, le Burkina-Faso se distingue également par une réappropriation de ses ressources minières, l’industrialisation, des réformes audacieuses, la lutte contre la corruption et la mauvaise gouvernance, la réduction du train de vie de l’Etat, de quoi relancer l’économie nationale. La coopération sud-sud n’est pas du reste.
La création de l’Alliance des États du Sahel (AES) devenue Confédération des Etats du Sahel, regroupant le Burkina-Faso, le Mali et le Niger, en est l’illustration parfaite. Cette organisation, symbole d’une souveraineté assumée et de solidarité entre ces trois pays ayant les mêmes défis et liés par l’histoire, intervient comme une alliance stratégique contre le terrorisme et l’impérialisme. Une alliance loin des schémas imposés.
Adjo Massan