Burkina Faso : Diffamation de MondAfrique contre Ibrahim Maïga, qui tire les ficelles ?

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Le Journal MondAfrique dans sa mission de trouble-fête et de manipulation, dans l’intérêt des déstabilisateurs et de leurs complices, a pris pour cible, le burkinabè engagé aux côtés du peuple, Ibrahim Maïga. MondAfrique et ses complices conçoivent mal l’appui remarquable de ce dernier dans la lutte contre les ennemis de la Nation y compris ceux qui cherchent à déstabiliser le régime populaire du Capitaine Ibrahim TRAORE.

Son dernier article intitulé « Ibrahim Maïga, activiste burkinabè et âme damnée du Président » démontre clairement la position de MondAfrique face aux soutiens de la transition au Burkina Faso. D’après certaines opinions, il s’agit d’un narratif bien conçu par quelqu’un ou ceux-là qui se sentent ébranlés par les commentaires et les analyses du burkinabè Ibrahim Maïga. Alors qui sont ces personnes ? La question reste posée.

Selon ces opinions, il est clair que, ce sont des gens qui ont vu leurs projets de déstabilisation tomber à l’eau à mainte reprise, grâce à la vigilance et au professionnalisme des services de renseignements burkinabè. Pour justifier leur hypothèse, ils soulignent que dans l’article de MondAfrique, il est mis en exergue certains burkinabè cités comme acteurs clés dans les projets de déstabilisation du Burkina Faso.

Il s’agirait du Journaliste Newton Ahmed Barry et de l’ancien chef de la diplomatie burkinabè, le général Djibril Bassolé. Ces derniers en exil se seraient plaint d’un supposé acharnement sur les membres de leurs familles au Burkina Faso. Ce sont les mêmes qui seraient derrière des accusations fallacieuses selon lesquelles, l’ethnie peulh serait la cible des exactions et de maltraitance au Burkina Faso.

D’après donc des opinions, ces deux burkinabè en exil depuis plusieurs années pour cause de leurs mauvaises conduites envers la Nation, seraient ceux qui s’en prennent à Ibrahim Maïga, en raison de son engagement dans l’éveil de consciences. Comme le conseil le président Ibrahim TRAORE aux jeunes de l’AES, il est important pour le peuple burkinabè de faire fi de ces manigances et d’avancer sereinement dans leur lutte pour la liberté et la souveraineté du Faso.

Karim Moussa

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