Burkina Faso/Manipulation : Le Capitaine Ibrahim TRAORE, la migraine des impérialistes et de leurs complices

A LA UNE OPINION POLITIQUE

Le président du Faso, le capitaine Ibrahim TRAORE est pour les impérialistes et leurs complices que sont les apatrides burkinabè, les valets locaux et les terroristes, une forte migraine qui refuse de quitter leurs têtes malveillantes. Ils sont à chaque fois démasqués et démantelés dans leurs manœuvres diaboliques contre le peuple burkinabè.

Alors qu’ils tentaient une fois de plus de construire un mur de trouble à l’esprit, de manipulation de la population et de démoralisation des forces combattantes, ils ont été surpris par la sagesse avec laquelle le capitaine Ibrahim TRAORE a démoli ce mur, rassurant et galvanisant davantage ces compatriotes, tout comme le cas des nombreuses tentatives de coup d’Etat.

Comme pour dire, si le but de nos ennemis est de ternir notre image et celle de notre pays aux yeux du monde, nous ferons de même, afin de montrer à tout le monde la cruauté par laquelle ils défendent leurs intérêts en Afrique. Toutes les zones d’ombres créées dans les esprits des gens par les Médias français ces derniers temps, ont été ôtées en quelques minutes pour le patriote et leader burkinabè.

Outre l’affaire de Tir d’Obus à la RTB, autour de laquelle ces journalistes impérialistes ont fait un montage grotesque, leur autre gros mensonge reste l’attaque de Mansila, qu’ils ont qualifié de meurtrière avec des chiffres sortis tout droit des laboratoires sadiques, comme ce fut le cas à Djibo et à Karma. Mais cela a été aussi démenti par le président du Faso.

L’armée burkinabè à l’ère du capitaine Ibrahim TRAORE, est capable de faire face à tout genre d’attaques terroristes. Il n’est pas passé sous silence, le cas des mouvements d’hélicoptères à Ouagadougou et à Dori que les ennemis ont traduit à leur manière, affirmant que le président du Faso avait pris l’hélicoptère pour s’enfuir à Dori.

Il s’agissait en réalité d’un mouvement pour apporter du renfort aux combattants de Mansila. A ce stade de la guerre de l’information et des tentatives de déstabilisation, les burkinabè et le peuple d’Afrique en général ont compris les enjeux. Et pour le président du Faso, il n’est pas question de leur accorder du crédit au risque de tomber dans leur piège.

Bassi Touré

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